La source Clémence à la bourboule

Posté par admin le 07/09/2006


On allait y prendre les eaux.


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Commentaires

Posté par Fico le
Sources sauvages ou captées, bonnes pour la santé,
qui soignent ou désaltèrent toutes en libre accès
Un site qui se veut témoignage de vie et d'amour pour une région qui m'est chère l'Auvergne : MON pays d'adoption ...

Voici une reportage photographique sur les sources dans le Puy-de-Dôme pour commencer (accessibles et gratuites ) qui soignent dit-on, miraculeuses, connues par les Romains ( et utilisées pour guérir les chevaux après une bataille : source du Grand Saladis ) ou tout simplement désaltérantes. Qu'elles soient pétillantes, ferrugineuses, plates , chaudes ou glacées . Toutes ces sources sont le fruit du mariage du Ciel et de la Terre. C'est pour cela qu'il faut les montrer et les respecter merveilleuse descendance directe de notre mère à tous : Mère Nature.
La source Clémence aurait disparu du paysage de La Bourboule , c'est un crime...Qui l'a commis ? un slogan me vient en tête : NE TOUCHE PAS A MA SOURCE !.. Il reste encore des merveilles dans le massif du Sancy, notament les sources Croizat et Félix que les communes du Mont Dore et La Bourboule prennent leur responsabilité et nous laisse nos sources telles quelles sont pour le moins si elles n'ont pas envie de les réhabiliter correctement en préservant le libre acces total à ces sources patrimoine de l'humanité tout comme le sont les volcans ou les lacs ou du moins devraient l'être.... quand je pense qu'ils y a des enfoirés qui voulaient faire payer les photos prises de nos volcans d'Auvergne !! On croit rêver... qu'ils viennent chercher chez moi les pellicules ou cartes mémoires ils seront bien reçus...

Fico
Posté par Cé-encor-moa le
Bonjour
un petit mot pour vous dire que je crois avoir trouvé ce qu'il reste de la source Clémence...
Un filet d'eau s'écoule d'un vulgaire tube gris en PVC , lequel se trouve à coté du stade (coté tribunes) de La Bourboule. Quand vous etes face au stade à droite il y a un muret en béton pour retenir sans doute la butte qui se trouve derriere, à vingts metres à droite et un peu plus haut il y a de l'eau qui sort de terre ( ce n'est pas un ruisseau, j'ai vérifié).. donc cela ne peut etre que la source Clémence..! Je lance un appel à Monsieur le Maire de La Bourboule : réhabilitez cette source, faites lui un petit bassin, et un acces libre direct et gratuit....!!!!
De toute façons je ne lacherais pas le morceau, et n'aurais cesse de demander son réaménagement........ C'est quand même un comble..! il faut que ce soit un espagnol qui ne vit même pas dans la vallée (pas encore) qui vienne défendre une partie du patrimoine de celle-ci . Il faut dire que je l'aime cette vallée...et je l'aimerais encore plus si les pouvoirs publics ne faisaient pas, parfois, n'importe quoi...
Frédéric Gomez dit Fico "el lobo"
Posté par Babyshaq le
Je travaille au stade tous les jours.
Je crois pour ton information que celle-ci n'est pas la source clémence.
Je me renseigne et j'essaie de te tenir au courant.
Elle doit être plus en retrait dane les habitations.
Mais, je ne l'ai moins même jamais trouvé. (Source Fantôme)
Posté par Fico l' gars des sources... le
Hello.... nouveau au sujet du site des Sources
1) Décision de création d'une Association pour la défense des sources d'Auvergne nom : SOURSA (plus qu'a trouver l'équipe motivée et le local)... si ya quelqu'un qui m'entend....
2) création du forum sur les sources à cette adresse
3)Contact pris avec des gens sympas d'Abrest dans l'Allier qui se sont réunis en Association pour défendre leurs sources DU Dôme et le Lys? DEUX PETITES MERVEILLES !! Entre Bellerive/allier et Hauterive sur la droite (voir adrsse sur site Soursa
4)Faut qu' j' finisse de mettre en place LA 1ère ROUTE DES SOURCES D'AUVERGNE(V 1.0)... j'ai tellement à faire ... à l'aide... qui veut m'aider?
Posté par RANDONNEURS le
bon a savoir je viens de découvrir le backpackers, sans me douter qu'il y en avait en france et surtout en auvergne que l'on dit en retard. Bravo

www.gites-auvergne.com
Posté par Pilou du 27 le
J'ai passé un bon séjour à LA BOURBOULE et dans la SANCY et c'etait une sorte de pélerinage car j'etais venu quand j'etais enfant pour faire la cure avec mes parents. j'avais de l'asthme et je dois dire que ces 3 années de cure m'ont ete tres benefiques car je n'en au plus jamais eu. Non c'est 4 an qu'on est venu. Il y avait tous les apres midi le parc fenestre et quelquefois des ballades à dos d'ane. Mais si je parle des sources, c'est parce que mon propriétaire nous a indiqué une source chaude dans les bois vers le Mont dore et je ne connaissais pas. On va revenir parce qu'il y a plein de choses à decouvrir encore. Merci pour l'accueil au gite.
Posté par xavier Fourot le
La source Clémence ou du moins ce qu'il en reste se trouve sur le terrain du camping municipal à droite en remontant sur le terre-plein. On la reconnait à sa couleur rougeatre et aux bulles qui émergent parfois. Prendre des bottes est recommandé....Madame Boyer la connait bien. C'est elle qui m'en a indiqué l'emplacement. Cordialement, Xavier Fourot.
Posté par NINI le
Et notre piscine ? Nous aurions peut-être du la garder et ne la démolir qu'après être sûrs de pouvoir la reconstruire. Enfin le bons sens aurait voulu que...mais ce n'est que mon avis. Nini
Posté par xavier fourot le
C'est un avis que je partage très largement. Mais rassurez-vous, une nouvelles piscine sera reconstruite...sur pilotis, d'après ce que je crois savoir. (Coût de construction beaucoup plus élevé). Et comme je l'ai déjà écrit sur ce blog, la piscine a été démolie contre l'avis de beaucoup des architectes qui ont participé au concours....Question que je pose d'ailleurs à l'ensemble des protagonistes: Qui a chiffré le coût de réhabilitation de l'ancienne piscine? Et réponse que j'attends : "Personne". Quand La Bourboule sortira t'elle de ce cercle vicieux: "Cela coûte trop cher (et l'on ne vérifie pas) , nous n'avons pas une clientèle suffisante pour investir (j'entends intelligemment) , donc l'on ne fait rien à part les trottoirs et cultiver l'air du temps (dicté par l'autre versant du massif...), ce qui conduit inexorablement à perdre ce peu de clientèle que nous avons sans en amener d'autre ..." Et pourtant nous avons tout: Une ville magnifique, un environnement exceptionnel, de l'eau, de l'eau...sous toutes ses formes! Eau que nous cachons !!!: Deux malheureux bassins en ville, Une Dordogne, et quelle Dordogne!!! La Dordogne a un renom exceptionnel que nous n'exploitons pas. Une Dordogne mal entretenue: Une station thermale sans eaux et sans piscine ! Quelle gageure! Et cet atout formidable que nous avons devant Besse-en-Chandesse ( Sources et thermalisme), Qu'en faisons nous? Et cette capacité à faire venir des sportifs, Qu'en est-il? Qui a entendu parler du stage de Judo qui a été organisé cet été avec plus de 80 participants venus de toute l'Europe? (Merci Dominique) Qui l'a fait savoir? Comment se fait-il qu'un vrai bassin sportif n'est pas été prévu dans le programme de la nouvelle piscine? Je suis pour ma part un peu inquiet. Ou allons nous? Pour quelles raisons obscures ne cultivons nous pas nos atouts fondamentaux dont j'ai parlé plus haut : Patrimoine exceptionnel. Environnement exceptionnel, Situation géographique exceptionnelle: Et l'eau !!!! Et l'eau !!!! Nous avons tout pour revenir au plus haut niveau touristique, et sans abandonner pour autant le thermalisme. Alors? Je reste plutôt inquiet. Xavier Fourot.
Posté par Maguise le
Bien d'accord avec vous. C'est pas brillant. Je dois dire que nous sommes aussi inquiets et démoralisés. M. G
Posté par S R le
La Bourboule sera toujours La Bourboule. Il suffit de vous regrouper les bourbouliens. Ou en sont les associations professionnelles (et autres) locales ? Nous n'en entendons pas parler. Je propose au webmaster de ce site sympa de nous en donner la liste.
Posté par Puy de domois d'adoption le
Si les associations elles mêmes (ou un des membres) pouvaient donner les informations, cela faciliterait les choses il me semble.
Posté par Baddays LA BEST le
les filles du foot ont commencé sur la page d'accueil du site ou directement sur FOOT FEMININ LA BOURBOULE
Posté par Magalie le
Vous avez oublié MARITE (l'amie de Jeannot Brut des Négo).
Posté par Xavier Fourot le
Nous sommes quelques Bourbouliens qui projetons de créer une association pour la promotion et la mise en valeur du patrimoine Bourboulien (architectural, urbain, environnemental,...). Et nous sommes bien déterminés à ne pas rester les pieds dans le même sabot. Nous avons déjà réuni une documentation assez fournie sur l'histoire urbaine de la ville, et avons l'intention de la diffuser très largement. Je lance donc un appel à toute personne intéressée, tous bords politiques confondus, toutes origines confondues, toutes opinions confondues à me contacter, par le biais de ce blog ou sur mon mail personnel : "xfourot(at)orange.fr", pour nous aider , soit en enrichissant notre documentation (numérisée, classée, puis rendue à son propriétaire), ou surtout à nous rejoindre. Les seuls critères retenus pour celà sont d'aimer La Bourboule, et d'avoir envie de l'aider....

Xavier Fourot.

PS: Je ne me présente pas aux élections municipales !!!!!!!!
Posté par dites nous le
Qui se présente alors ?
Posté par Dany B le
Lisez le journal, Falgoux etait marqué.
Posté par Durdur le
Les douze travaux d'Hercule 1) Le lion de Némée Eurysthée demanda d'abord au héros de lui apporter la peau du lion de Némée. Cette terrible bête vivait dans une forêt d'Argolide. Elle terrorisait les habitants de cette région. Ses rugissements étaient si glaçants que bergers et laboureurs se terraient dans leurs maisons. Hercule, armé d'un arc, de flèches et d'une massue se dirigea vers l'antre du fauve. Une à une, il décocha ses flèches mortelles. Chacune touchait sa cible, mais l'animal était invulnérable, sa peau était si dure qu'aucune flèche ne pouvait l'entamer. Les flèches dérisoires ricochaient sur la terre. Hercule ne se laissa pas impressionner et, poussant un grand cri, il se précipita sur le monstre en brandissant son énorme massue. Le lion, effrayé et surpris s'enfuit dans son antre qui avait deux entrées. Hercule en boucha une et pénétra par l'autre. Le fauve, acculé se mit à rugir et, hérissant sa crinière, se mit à bondir. Hercule leva alors sa massue et l'abattit sur le crâne de la bête. Le coup fut si violent que la massue se brisa en deux. A moitié assommé, le lion chancelait. Il jeta ses armes et étreignit le fauve de ses bras vigoureux et sa force était telle que, vaincu, le lion mourut étouffé. Hercule écorcha alors l'animal et se revêtit de sa toison comme d'une cuirasse. 2) L'Hydre de LERNE Le deuxième travail que dut accomplir Hercule fut de tuer l'hydre de Lerne. L'hydre était un énorme dragon au corps de reptile surmonté de neuf têtes. Elle vivait dans le sombre marais de Lerne. Son haleine était empoisonnée et elle ravageait la campagne environnante. Hercule partit à sa rencontre en compagne de Ialaos, qui conduisait le char du héros. Ils se retrouvèrent bientôt au bord du marais. Hercule envoya une volée de flèches dans les roseaux et l'hydre, furieuse, apparut. Il voulut abattre les têtes hideuses à coups de massue, mais de chaque tête vaincue, il en renaissait deux. Il appela Ialaos à l'aide. Celui-ci mit le feu à la forêt voisine et, armé de brandons se mit à bruler chaque tête renaissante. Il n'en resta bientôt qu'une. Celle-ci était immortelle. Hercule la trancha et l'enterra sous un rocher. Le monstre était vaincu. Hercule ouvrit le corps de la bête et recueillit son venin. Il y trempa ses flèches et les rendit empoisonnées. Hercule s'en retourna à la cour d'Eurysthée qui refusa de compter cet exploit au nombre des Travaux, sous prétexte qu'il avait bénéficié d'une aide extérieure. 3) La biche aux pieds d'Airain Eurysthée ordonna ensuite à Hercule de lui ramener vivante la biche du mont Cyrénée. C'était une merveilleuse biche aux cornes d'or et aux pieds d'airain. Elle était si rapide à la course que jamais personne n'avait pu l'attraper. Consacrée à Artémis, elle était l'une des quatre biches de l'attelage de la déesse. C'est dans les bois d'Oénoé, en Argolide qu'Hercule se mit à poursuivre l'animal. La chasse dura un an. Entraînant son chasseur avec elle, la biche courut jusqu'au pays des Hyperboréens, ce pays magique qui s'étendait au delà des contrées de frimas et de neige. Là, un printemps perpétuel régnait. Fatiguée, la biche retourna alors sur ses pas. Toujours galopant, toujours poursuivie par le héros, elle atteignit les rives du Ladon. Elle hésitait à traverser le fleuve qu'avaient grossi les pluies. Hercule profita de son indécision et fondit sur elle. Il l'attrapa à l'aide d'un filet et la chargea sur ses larges épaules. Comme il ramenait l'animal, il rencontra Artémis et Apollon qui lui firent des reproches et réclamèrent la biche. Hercule rejeta la responsabilité sur Eurysthée. La déesse l'autorisa à ramener l'animal à Tirynthe, à condition de le relâcher ensuite sans lui faire de mal. 4) Le sanglier d'Erymanthe A peine de retour au palais de son maître, Hercule reçut l'ordre d'aller à la recherche du sanglier d'Erymanthe. Il devait le capturer et le ramener vivant à la cour d'Eurysthée. Ce sanglier était une bête féroce qui ne sortait de son repaire que pour dévaster les champs d'Arcadie. Hercule partit, armé de son arc et de sa massue et se mit à la recherche de la bête. Il battit fourrés et taillis et finit par la trouver. La chasse impitoyable commença. Il poursuivit le sanglier jusqu'au sommet de montagnes couvertes de neige. C'est là qu'il attira l'animal épuisé dans un trou qu'il avait rempli de neige pour le paralyser avant de le chevaucher. Il le maîtrisa à mains nues et l'enchaîna. Il repartit, portant sa lourde charge sur ses épaules et le déposa au pied d'Eurysthée, qui, raconte-t-on, se cacha dans une jarre, terrorisé à la vue du monstre. 5) Les écuries d'Augias Eurysthée ordonna à Hercule de se rendre aux écuries d'Augias. Le roi Augias vivait à Elis, dans le Péloponnèse. Il était le fils d'Hélios, le dieu du Soleil et possédait de nombreux troupeaux qu'il faisait paître dans son royaume d'Elide. Les étables, où étaient enfermés plus de 3000 boeufs n'avaient pas été nettoyées depuis trente ans. Elles étaient encombrées d'un fumier si épais qu'on ne parvenait pas à supprimer l'odeur nauséabonde qui se répandait aux environs. Hercule avait l'ordre de les nettoyer en une seule journée. Le héros ouvrit des brèches dans le mur d'enceinte des étables, puis il détourna le fleuve d'Alphée et fit passer ses eaux purifiantes et tumultueuses au travers des écuries. Il reboucha ensuite les brèches. Les étables redevinrent propres et saines. 6) Les oiseaux du lac Stymphale Pour son sixième travail, Hercule fut mis au défi par Eurysthée de détruire les oiseaux du lac Stymphale. Ces oiseaux monstrueux vivaient en Arcadie au milieu d'un marais couvert d'épines et de broussailles. Ils attaquaient les gens du pays en se servant de leurs plumes aux pointes d'acier comme flèches et se repaissaient de chair humaine. Leur bec, leurs serres et leurs ailes étaient d'airain. Non contents de dévorer hommes et troupeaux, les voraces volatiles dévastaient les jardins et souillaient les récoltes. Perplexe, Hercule ne savait que faire lorsque Athéna lui apparut et lui remit une paire de cymbales, faites du même métal que le bec, les pattes et les ailes des oiseaux et forgées par Héphaïstos, le dieu du feu. Il se posta sur une montagne voisine et fit un vacarme assourdissant, débusquant ainsi les oiseaux affolés. Ces derniers s'enfuirent à tire-d'aile, ce qui permit à Hercule de les abattre de ses flèches. Ce fut le dernier travail que le héros accomplit dans le Péloponnèse. 7) Le Taureau de Crète Eurysthée ordonna à Hercule de ramener le taureau de Crète. Minos, roi de Crète, avait promis à Poséidon, le dieu de la mer, de sacrifier en son nom ce qu'il ferait sortir des flots. Poséidon fit émerger des vagues un taureau d'une telle beauté et d'une telle majesté que Minos ne put se résoudre à le sacrifier. Trahissant sa promesse, il captura le taureau et le dissimula dans ses propres troupeaux. Outré de cette déloyauté, Poséidon rendit l'animal furieux. Le taureau devint alors la terreur du pays. Lançant des flammes par les naseaux, il détruisit les récoltes et brûla les champs. Hercule aborda en Crète. Dès qu'il vit l'animal, il fonça sur lui, l'empoigna par les cornes et le força à plier les jarrets. Le taureau résistait, mais Hercule sortit victorieux de ce combat titanesque, il maîtrisa l'animal à l'aide d'un filet et le porta, en traversant la mer, jusqu'aux pieds d'Eurysthée. 8) Les Juments de Diomède Hercule reçut l'ordre de se rendre en Thrace, afin de capturer les juments de Diomède. Diomède était le fils du cruel Arès et régnait sur un peuple de sauvages. Il possédait quatre juments qui vomissaient le feu et auxquelles il jetait en pâture les étrangers que la tempête rejetait sur ses côtes. Hercule débarqua en Thrace et se dirigea vers les écuries de Diomède. Il assomma les valets qui pansaient les cavales, se saisit de Diomède et le donna en pâture à ses propres juments, lui faisant ainsi subir le sort qu'il avait fait endurer à de si nombreux naufragés. Lorsqu'elles se furent repues de la chair du roi de Thrace, les juments de laissèrent docilement capturer et Hercule put ainsi les conduire auprès d'Eurysthée. 9) La ceinture d'Hippolyte La fille d'Eurysthée, Admète, désirait la superbe ceinture que possédait Hippolyte, la reine des Amazones. Pour être agréable à sa fille, le roi chargea Hercule d'aller la chercher. Hercule affréta neuf navires et embarqua une troupe de volontaires pour aborder au pays des mythiques guerrières qui habitaient dans le lointain Caucase, au bord de la Mer Noire. Les Amazones formaient un peuple sans hommes et avaient la réputation de mutiler les enfants mâles à la naissance. Elles ne s'unissaient à des hommes, qu'elles tuaient ensuite, que pour conserver de leurs amours les enfants de sexe féminin dont elles ôtaient un sein, afin que ces futures guerrières puissent manier aisément l'arc et l'épée. Hippolyte reçut d'abord Hercule avec une grande bonté et lui offrit sa ceinture en gage de son amour. Mais Héra, déguisée en Amazone, répandit la nouvelle qu'Hercule était venu enlever la reine. Une lutte terrible s'engagea entre les vierges guerrières et les soldats d'Hercule. Un grand nombre de ces farouches amazones périrent et, parmi elles, Hippolyte fut tuée par Hercule, qui se saisit de la précieuse ceinture qu'il offrit à Admète. 10) Les boeufs de Géryon Eurysthée exigea qu'Hercule lui amène les boeufs roux de Géryon, géant colossal, dont les flancs se ramifiaient en trois corps. Géryon était roi de Tarlessos, en Espagne, ville qui se situait en Andalousie. Il possédait un troupeau de bœufs d'une grande beauté, gardé par un berger, Eurythéon et par un monstrueux chien à trois têtes. Pour obéir à ce nouvel ordre, Hercule partit vers l'Occident en longeant la côte africaine. Arrivé au détroit qui sépare l'Europe de l'Afrique, il éleva deux colonnes, une sur chaque continent, pour commémorer son passage. On les appelle depuis les colonnes d'Hercule. A cet endroit, le soleil, très ardent, incommoda Hercule, qui banda son arc et décocha une flèche contre lui. Étonné de cette audace, le Soleil, pour apaiser le vaillant héros et lui permettre de continuer sa route, lui prêta la coupe d'or qui le transporte à travers l'océan et le guide jusqu'aux rivages où il remonte au ciel pour éclairer la Terre. Hercule s'embarqua donc dans la coupe et parvint au terme de son voyage. Il passa la nuit à épier les troupeaux. Le chien, vigilant, aboya. Hercule l'assomma d'un coup de massue. Il fit subir le même sort au bouvier, accouru au secours de son chien, puis il décocha à Géryon une flèche fatale qui transperça ses trois corps en même temps. Victorieux, il ramena le troupeau à Eurysthée. 11) Les Pommes du Jardin des Hespérides : A peine revenu de cette expédition, Hercule reçut l'ordre de ramener à Eurysthée les pommes d'or du jardin des Hespérides. Filles d'Atlas , les Hespérides habitaient un jardin merveilleux dont les arbres étaient chargés de fruits dorés. Hercule reprit la route de l'Occident, mais ne savait où trouver le mystérieux jardin. Il erra longtemps et arriva sur les bords de l'Eridan. Là, des Nymphes lui conseillèrent de s'adresser à Nérée. Il le trouva, endormi sur le rivage. Hercule l'enchaîna et lui ordonna de lui révéler la retraite des Hespérides. Pour effrayer Hercule, Nérée se transforma en lion, en serpent, en flammes. Mais Hercule résista et Nérée accepta de lui confier le secret des Hespérides. Il partit aux confins du monde occidental et atteignit le jardin merveilleux. Il vit d'abord Atlas, qui soutenait de sa tête et de ses mains la voûte du ciel. Hercule lui demanda quel était le moyen de s'emparer des pommes convoitées. Le géant s'offrit d'aller les cueillir, mais à deux conditions. La première était qu'Hercule le débarrasse du dragon Ladon, le monstre à cent têtes, gardien du jardin. La seconde était que le héros le décharge de son fardeau pendant qu'il irait cueillir les pommes. Hercule accepta. D'une seule flèche, il transperça les cent têtes du monstre qui mourut d'un seul coup. Puis, il endossa la voûte céleste sur ses puissantes épaules. Lorsque Atlas revint, portant les précieuses pommes, il déclara vouloir les porter lui-même à Eurysthée. Hercule feignit d'être d'accord, mais pria Atlas de reprendre un court instant la voûte céleste, le temps de glisser un coussin sous sa tête. Il s'empara alors des pommes d'or et s'enfuit pour ramener son butin à Eurysthée. 12) Cerbère, Le gardien des Enfers Comme ultime épreuve, Eurysthée demanda à Hercule de descendre aux Enfers et d'en ramener Cerbère, le chien de garde des portes souterraines. Hermès et Athéna l'escortèrent jusqu'au séjour des Morts. Il atteignit le Styx et, traversant de grands fleuves de flammes, il parvint aux pieds du trône d'Hadès. Celui-ci lui permit d'emmener Cerbère à la lumière du jour s'il pouvait se rendre maître de l'animal sans le secours d'aucune arme. Cerbère était un chien monstrueux qui possédait trois têtes et dont le corps se terminait par une queue de dragon. Sa sonore voix d'airain terrorisait tous ceux qui l'approchaient. Sans arme, revêtu seulement de la peau du lion de Némée, Hercule se présenta devant Cerbère. Il le saisit par le cou, juste à l'endroit où se réunissaient les trois têtes et, quoique mordu, le serra si fort que le chien, se sentant étouffer, se décida à suivre le héros. Hercule enchaîna l'animal et le tirant hors du gouffre, vint le montrer à Eurysthée. Terrifié, celui-ci ordonna aussitôt de renvoyer le monstre aux Enfers.
Posté par Durdur (re) le
19. Le dimanche 25 novembre 2007 à 13:56, par Durdur

Les douze travaux d'Hercule

1) Le lion de Némée


Eurysthée demanda d'abord au héros de lui apporter la peau du lion de Némée. Cette terrible bête vivait dans une forêt d'Argolide.
Elle terrorisait les habitants de cette région. Ses rugissements étaient si glaçants que bergers et laboureurs se terraient dans leurs maisons. Hercule, armé d'un arc, de flèches et d'une massue se dirigea vers l'antre du fauve. Une à une, il décocha ses flèches mortelles. Chacune touchait sa cible, mais l'animal était invulnérable, sa peau était si dure qu'aucune flèche ne pouvait l'entamer. Les flèches dérisoires ricochaient sur la terre.
Hercule ne se laissa pas impressionner et, poussant un grand cri, il se précipita sur le monstre en brandissant son énorme massue. Le lion, effrayé et surpris s'enfuit dans son antre qui avait deux entrées. Hercule en boucha une et pénétra par l'autre.
Le fauve, acculé se mit à rugir et, hérissant sa crinière, se mit à bondir. Hercule leva alors sa massue et l'abattit sur le crâne de la bête. Le coup fut si violent que la massue se brisa en deux. A moitié assommé, le lion chancelait. Il jeta ses armes et étreignit le fauve de ses bras vigoureux et sa force était telle que, vaincu, le lion mourut étouffé. Hercule écorcha alors l'animal et se revêtit de sa toison comme d'une cuirasse.

2) L'Hydre de LERNE

Le deuxième travail que dut accomplir Hercule fut de tuer l'hydre de Lerne. L'hydre était un énorme dragon au corps de reptile surmonté de neuf têtes. Elle vivait dans le sombre marais de Lerne. Son haleine était empoisonnée et elle ravageait la campagne environnante. Hercule partit à sa rencontre en compagne de Ialaos, qui conduisait le char du héros. Ils se retrouvèrent bientôt au bord du marais. Hercule envoya une volée de flèches dans les roseaux et l'hydre, furieuse, apparut. Il voulut abattre les têtes hideuses à coups de massue, mais de chaque tête vaincue, il en renaissait deux. Il appela Ialaos à l'aide. Celui-ci mit le feu à la forêt voisine et, armé de brandons se mit à bruler chaque tête renaissante. Il n'en resta bientôt qu'une. Celle-ci était immortelle. Hercule la trancha et l'enterra sous un rocher. Le monstre était vaincu. Hercule ouvrit le corps de la bête et recueillit son venin. Il y trempa ses flèches et les rendit empoisonnées. Hercule s'en retourna à la cour d'Eurysthée qui refusa de compter cet exploit au nombre des Travaux, sous prétexte qu'il avait bénéficié d'une aide extérieure.

3) La biche aux pieds d'Airain

Eurysthée ordonna ensuite à Hercule de lui ramener vivante la biche du mont Cyrénée. C'était une merveilleuse biche aux cornes d'or et aux pieds d'airain. Elle était si rapide à la course que jamais personne n'avait pu l'attraper. Consacrée à Artémis, elle était l'une des quatre biches de l'attelage de la déesse. C'est dans les bois d'Oénoé, en Argolide qu'Hercule se mit à poursuivre l'animal. La chasse dura un an. Entraînant son chasseur avec elle, la biche courut jusqu'au pays des Hyperboréens, ce pays magique qui s'étendait au delà des contrées de frimas et de neige. Là, un printemps perpétuel régnait. Fatiguée, la biche retourna alors sur ses pas. Toujours galopant, toujours poursuivie par le héros, elle atteignit les rives du Ladon. Elle hésitait à traverser le fleuve qu'avaient grossi les pluies. Hercule profita de son indécision et fondit sur elle. Il l'attrapa à l'aide d'un filet et la chargea sur ses larges épaules. Comme il ramenait l'animal, il rencontra Artémis et Apollon qui lui firent des reproches et réclamèrent la biche. Hercule rejeta la responsabilité sur Eurysthée. La déesse l'autorisa à ramener l'animal à Tirynthe, à condition de le relâcher ensuite sans lui faire de mal.

4) Le sanglier d'Erymanthe

A peine de retour au palais de son maître, Hercule reçut l'ordre d'aller à la recherche du sanglier d'Erymanthe. Il devait le capturer et le ramener vivant à la cour d'Eurysthée. Ce sanglier était une bête féroce qui ne sortait de son repaire que pour dévaster les champs d'Arcadie. Hercule partit, armé de son arc et de sa massue et se mit à la recherche de la bête. Il battit fourrés et taillis et finit par la trouver. La chasse impitoyable commença. Il poursuivit le sanglier jusqu'au sommet de montagnes couvertes de neige. C'est là qu'il attira l'animal épuisé dans un trou qu'il avait rempli de neige pour le paralyser avant de le chevaucher. Il le maîtrisa à mains nues et l'enchaîna. Il repartit, portant sa lourde charge sur ses épaules et le déposa au pied d'Eurysthée, qui, raconte-t-on, se cacha dans une jarre, terrorisé à la vue du monstre.

5) Les écuries d'Augias
Eurysthée ordonna à Hercule de se rendre aux écuries d'Augias. Le roi Augias vivait à Elis, dans le Péloponnèse. Il était le fils d'Hélios, le dieu du Soleil et possédait de nombreux troupeaux qu'il faisait paître dans son royaume d'Elide. Les étables, où étaient enfermés plus de 3000 boeufs n'avaient pas été nettoyées depuis trente ans. Elles étaient encombrées d'un fumier si épais qu'on ne parvenait pas à supprimer l'odeur nauséabonde qui se répandait aux environs. Hercule avait l'ordre de les nettoyer en une seule journée. Le héros ouvrit des brèches dans le mur d'enceinte des étables, puis il détourna le fleuve d'Alphée et fit passer ses eaux purifiantes et tumultueuses au travers des écuries. Il reboucha ensuite les brèches. Les étables redevinrent propres et saines.

6) Les oiseaux du lac Stymphale
Pour son sixième travail, Hercule fut mis au défi par Eurysthée de détruire les oiseaux du lac Stymphale. Ces oiseaux monstrueux vivaient en Arcadie au milieu d'un marais couvert d'épines et de broussailles. Ils attaquaient les gens du pays en se servant de leurs plumes aux pointes d'acier comme flèches et se repaissaient de chair humaine. Leur bec, leurs serres et leurs ailes étaient d'airain. Non contents de dévorer hommes et troupeaux, les voraces volatiles dévastaient les jardins et souillaient les récoltes. Perplexe, Hercule ne savait que faire lorsque Athéna lui apparut et lui remit une paire de cymbales, faites du même métal que le bec, les pattes et les ailes des oiseaux et forgées par Héphaïstos, le dieu du feu. Il se posta sur une montagne voisine et fit un vacarme assourdissant, débusquant ainsi les oiseaux affolés. Ces derniers s'enfuirent à tire-d'aile, ce qui permit à Hercule de les abattre de ses flèches. Ce fut le dernier travail que le héros accomplit dans le Péloponnèse.

7) Le Taureau de Crète

Eurysthée ordonna à Hercule de ramener le taureau de Crète. Minos, roi de Crète, avait promis à Poséidon, le dieu de la mer, de sacrifier en son nom ce qu'il ferait sortir des flots. Poséidon fit émerger des vagues un taureau d'une telle beauté et d'une telle majesté que Minos ne put se résoudre à le sacrifier. Trahissant sa promesse, il captura le taureau et le dissimula dans ses propres troupeaux. Outré de cette déloyauté, Poséidon rendit l'animal furieux. Le taureau devint alors la terreur du pays. Lançant des flammes par les naseaux, il détruisit les récoltes et brûla les champs. Hercule aborda en Crète. Dès qu'il vit l'animal, il fonça sur lui, l'empoigna par les cornes et le força à plier les jarrets. Le taureau résistait, mais Hercule sortit victorieux de ce combat titanesque, il maîtrisa l'animal à l'aide d'un filet et le porta, en traversant la mer, jusqu'aux pieds d'Eurysthée.

8) Les Juments de Diomède

Hercule reçut l'ordre de se rendre en Thrace, afin de capturer les juments de Diomède. Diomède était le fils du cruel Arès et régnait sur un peuple de sauvages. Il possédait quatre juments qui vomissaient le feu et auxquelles il jetait en pâture les étrangers que la tempête rejetait sur ses côtes. Hercule débarqua en Thrace et se dirigea vers les écuries de Diomède. Il assomma les valets qui pansaient les cavales, se saisit de Diomède et le donna en pâture à ses propres juments, lui faisant ainsi subir le sort qu'il avait fait endurer à de si nombreux naufragés. Lorsqu'elles se furent repues de la chair du roi de Thrace, les juments de laissèrent docilement capturer et Hercule put ainsi les conduire auprès d'Eurysthée.

9) La ceinture d'Hippolyte

La fille d'Eurysthée, Admète, désirait la superbe ceinture que possédait Hippolyte, la reine des Amazones. Pour être agréable à sa fille, le roi chargea Hercule d'aller la chercher. Hercule affréta neuf navires et embarqua une troupe de volontaires pour aborder au pays des mythiques guerrières qui habitaient dans le lointain Caucase, au bord de la Mer Noire. Les Amazones formaient un peuple sans hommes et avaient la réputation de mutiler les enfants mâles à la naissance. Elles ne s'unissaient à des hommes, qu'elles tuaient ensuite, que pour conserver de leurs amours les enfants de sexe féminin dont elles ôtaient un sein, afin que ces futures guerrières puissent manier aisément l'arc et l'épée. Hippolyte reçut d'abord Hercule avec une grande bonté et lui offrit sa ceinture en gage de son amour. Mais Héra, déguisée en Amazone, répandit la nouvelle qu'Hercule était venu enlever la reine. Une lutte terrible s'engagea entre les vierges guerrières et les soldats d'Hercule. Un grand nombre de ces farouches amazones périrent et, parmi elles, Hippolyte fut tuée par Hercule, qui se saisit de la précieuse ceinture qu'il offrit à Admète.

10) Les boeufs de Géryon

Eurysthée exigea qu'Hercule lui amène les boeufs roux de Géryon, géant colossal, dont les flancs se ramifiaient en trois corps. Géryon était roi de Tarlessos, en Espagne, ville qui se situait en Andalousie. Il possédait un troupeau de bœufs d'une grande beauté, gardé par un berger, Eurythéon et par un monstrueux chien à trois têtes. Pour obéir à ce nouvel ordre, Hercule partit vers l'Occident en longeant la côte africaine. Arrivé au détroit qui sépare l'Europe de l'Afrique, il éleva deux colonnes, une sur chaque continent, pour commémorer son passage. On les appelle depuis les colonnes d'Hercule. A cet endroit, le soleil, très ardent, incommoda Hercule, qui banda son arc et décocha une flèche contre lui. Étonné de cette audace, le Soleil, pour apaiser le vaillant héros et lui permettre de continuer sa route, lui prêta la coupe d'or qui le transporte à travers l'océan et le guide jusqu'aux rivages où il remonte au ciel pour éclairer la Terre. Hercule s'embarqua donc dans la coupe et parvint au terme de son voyage. Il passa la nuit à épier les troupeaux. Le chien, vigilant, aboya. Hercule l'assomma d'un coup de massue. Il fit subir le même sort au bouvier, accouru au secours de son chien, puis il décocha à Géryon une flèche fatale qui transperça ses trois corps en même temps. Victorieux, il ramena le troupeau à Eurysthée.

11) Les Pommes du Jardin des Hespérides :

A peine revenu de cette expédition, Hercule reçut l'ordre de ramener à Eurysthée les pommes d'or du jardin des Hespérides. Filles d'Atlas , les Hespérides habitaient un jardin merveilleux dont les arbres étaient chargés de fruits dorés. Hercule reprit la route de l'Occident, mais ne savait où trouver le mystérieux jardin. Il erra longtemps et arriva sur les bords de l'Eridan. Là, des Nymphes lui conseillèrent de s'adresser à Nérée. Il le trouva, endormi sur le rivage. Hercule l'enchaîna et lui ordonna de lui révéler la retraite des Hespérides. Pour effrayer Hercule, Nérée se transforma en lion, en serpent, en flammes. Mais Hercule résista et Nérée accepta de lui confier le secret des Hespérides. Il partit aux confins du monde occidental et atteignit le jardin merveilleux. Il vit d'abord Atlas, qui soutenait de sa tête et de ses mains la voûte du ciel. Hercule lui demanda quel était le moyen de s'emparer des pommes convoitées. Le géant s'offrit d'aller les cueillir, mais à deux conditions. La première était qu'Hercule le débarrasse du dragon Ladon, le monstre à cent têtes, gardien du jardin. La seconde était que le héros le décharge de son fardeau pendant qu'il irait cueillir les pommes. Hercule accepta. D'une seule flèche, il transperça les cent têtes du monstre qui mourut d'un seul coup. Puis, il endossa la voûte céleste sur ses puissantes épaules. Lorsque Atlas revint, portant les précieuses pommes, il déclara vouloir les porter lui-même à Eurysthée. Hercule feignit d'être d'accord, mais pria Atlas de reprendre un court instant la voûte céleste, le temps de glisser un coussin sous sa tête. Il s'empara alors des pommes d'or et s'enfuit pour ramener son butin à Eurysthée.

12) Cerbère

Le gardien des Enfers comme ultime épreuve, Eurysthée demanda à Hercule de descendre aux Enfers et d'en ramener Cerbère, le chien de garde des portes souterraines.
Hermès et Athéna l'escortèrent jusqu'au séjour des Morts. Il atteignit le Styx et, traversant de grands fleuves de flammes,
il parvint aux pieds du trône d'Hadès.
Celui-ci lui permit d'emmener Cerbère à la lumière du jour s'il pouvait se rendre maître de l'animal sans le secours d'aucune arme. Cerbère était un chien monstrueux qui possédait trois têtes et dont le corps se terminait par une queue de dragon. Sa sonore voix d'airain terrorisait tous ceux qui l'approchaient. Sans arme, revêtu seulement de la peau du lion de Némée, Hercule se présenta devant Cerbère. Il le saisit par le cou, juste à l'endroit où se réunissaient les trois têtes et, quoique mordu, le serra si fort que le chien, se sentant étouffer, se décida à suivre le héros.
Hercule enchaîna l'animal et le tirant hors du gouffre, vint le montrer à Eurysthée.
Terrifié, celui-ci ordonna aussitôt de renvoyer le monstre aux Enfers.
Posté par Optimiste le
Pourquoi pas les sept merveilles du monde.?
Posté par Durdur le
Bonne idée : CHARLANNES...vendu ? LES GRANDS THERMES...Vendu ? LE CASINO...Vendu ? LE PARC FENESTRE...Vendu ? LA DORDOGNE...? LA PISCINE...? L'EGLISE...? et LE MARCHE COUVERT ...?
Posté par kiri kiri le
et le syndicat d'initiative LOCAL. Il a peut être été vendu lui aussi ?
Posté par Kiri Kirii le
Non il a déménagé ?
Posté par Christian le
Il parait qu'il est à Besse mais ils ont gardé les "meilleures" à la bourboule. lol. Continuez nous vous en prions ! Vous êtes les meilleurs et les plus nombreux pour payer : entre vos taxes locales, taxes foncières, taxes de séjour, taxes professionnelles, ordures ménagères, et l'eau (hello comme dirait notre ami plus haut). lol lol lol lol pour KIRI
Posté par Domi le
il parait que les maisons d'enfant ferment de plus en plus. Remarquez, y en avaient trop et les animations ne servaient qu'à elles.
Posté par kiri kiri le
C'est toujours les mêmes qui en profite (de la pub) suivez mon regard à l'ouest...je n'est pas le sens de l'orientation
Posté par Cri du coeur le
Si vous vous voulez parler des maisons d'enfants, on sait ce qu'elles ont fait à la station depuis une trentaine d'années. Que des enfants en maisons d'enfants et les parents qui ne viennent plus à 3 ou 4 ou 5 personnes ! La promotion uniquement ou principalement pour les enfants non accompagnés ! Sans parler de certains médecins (tous ou presque propriétaires de maisons d'enfants) qui disaient aux parents qui amenaient leur(s) enfant(s) en consultation chez le médecin thermal "Mettez le(s) en maison d'enfants pour sa santé !" Bien sûr, c'était chez lui ! Mais je parle d'un autre temps... Nous avons tous des exemples de ce type. Il est vrai que quand on dit a une maman, c'est pour la santé de votre enfant, la deuxième année, elle ne va pas à l'hôtel, ou en appartement meublé, ou en camping, elle ne dépense pas chez les commerçants de la station, ...elle le met en maison d'enfants. D'autant plus que cela coute beaucoup plus cher à la Sécurité Sociale en maison d'enfants qu'en famille. Cette dernière y a mis un frein. Mais c'est La Bourboule toute entière qui trinque. Mais je ne veux pas dire que ce sont les seules maisons d'enfants qui sont responsables de cet état de fait, les dirigeants successifs n'ont pas pris la mesure du danger de ne pas soutenir le thermalisme en général (adulte et enfants) sauf peut-être Serge Teillot qui a fait ce qu'il a pu dans ce domaine). Alors les remèdes, peut_être un commercial (digne de ce nom et qui vende La Bourboule toute entière) qui visite tous les médecins prescripteurs, région par région (à définir) pour leur expliquer ce qu'on fait à La Bourboule, avec dossiers et résultats de recherche thermale...dossiers de tourisme...dossiers complets de tous les hébergements et pas juste un seul au hasard). Certains se souviennent des médecins de La Bourboule qui passaient l'hiver à Paris et ailleurs et qui prospectaient. Les jeunes médecins ne connaissent pas le thermalisme, (plus de chaire d'hydrologie à la faculté de médecine) pourtant on nous dit qu'il y a de plus en plus d'allergiques... Il est vrai que des Laboratoires pharmaceutiques ont des visiteurs médicaux et des budgets énormes, pas comparables avec ceux d'une petite ville, même avec ceux d'une communauté de commune, quoi que... si l'on enlève les budgets de fonctionnement, mais ça c'est une autre affaire. Ce qui peut nous sauver, je pense vraiment que c'est la "remise en forme" couplée au thermalisme médical, nous avons la matière première, les infrastructures (Les Grands Thermes), même la piscine avec remise en forme qui va se faire, le bon air... Ne sommes nous pas la station OXYGENE ?
Posté par Olivier Fourot le
Je suis consterné par ces 3 dernières remarques.
Comment peut-on se réjouir de la fermeture des Maisons d'Enfants ?

Le simple bon sens indique que c'est justement la création des Maisons d'Enfants qui a donné à La Bourboule son envergure de station pédiatrique...

Pour prendre un exemple simple : si 5 fleuristes s'installent dans la même rue, tôt ou tard on l'appellera la rue des Fleurs.

La fermeture de tous mes collègues me désespère, cela signifie
- que les liens avec les médecins prescripteurs sont rompus,
- que leurs démarches privées de prospection s'arrêtent,
- que les taxes professionnelles ne seront plus perçues par la commune,
- que les emplois de moniteurs vont baisser, alors qu'ils dépensaient + de 50% de leur salaire chez les commerçants,
- que les emplois d'employées de service , d'ouvrier d'entretien, de cuisinier vont baisser,
- que les dépenses en activités ludiques et sportives chez les prestataires de la vallée seront diminuées,
- que les Thermes vont encore réduire leur personnel dédié aux maisons d'enfants,
- que les entreprises qui réparaient, construisaient, entretenaient les maisons d'enfants vont perdre des clients,
etc. etc.

La Station Thermale de La Roche Posay, bien connue pour ses erreurs commerciales, cherche actuellement à réouvrir sa Maison d'Enfants fermée en 2007 par la Sécu, les Thermes se lamentent de la perte immédiate de 500 curistes...
Regardez les chiffres de Saint Honoré les bains... depuis la fermeture de ses Maisons d'Enfants, la station est devenue une ville fantôme...

Quand une Maison d'Enfants ferme, seuls 30 % de ses patients se réinscrivent chez ses concurrent. Ce qui veut dire que les médecins prescripteurs ne prescrivent plus.

Seul Jean Louis Murat, qui se souvient avec nostalgie de sa jolie infirmière dans "Au mont Sans Souci", chante
Posté par letipidespikatchu le
Je suis tout autant révolté que mon collègue. Comment peut on se réjouir de la fermeture des MECS, quand toutes les maisons auront fermé ce sera une catastrophe économique pour la station, mais bon nombre de Bourbouliens n'y entend rien, quand les taxes communales jusqu'alors perçues au travers de ces établissements ne le seront plus, chaque citoyen paniquera en réalisant la flambée de ses taxes communales. Réalisez vous qu'en moyenne, rien que le budget dépensé sur la commune en activités pour les curistes représentait : 221 000 euros (au minimum) ; argent dépensé nul par ailleurs que chez les commerçants eh oui, il faut le savoir !!!!! et je ne parle pas de l'argent de poche de ces enfants ni des soirées des animateurs au Roxy, au café de la plage ou tout autre bar, du black Jack......
La fermeture de nos établissements induira la fermeture d'un établissement thermal ; voire des 2 et la suppression énorme d'emplois saisonniers voire annuels dans certaines maisons (cuisinier, ouvrier d'entretien...) quand à la santé des enfants, n'en parlons pas, savez vous seulement que tous les frais de cures thermales quand nous étions encore 25 maisons à fonctionner ne représentaient dans le budget de la sécurité sociale que l'équivalent d'une petite clinique. Par contre, les enfants qui ne pourront plus être soignés, soulagés, voire guéris par le thermalisme se verront imposer par nécessité des traitements de plus en plus lourds et couteux jusque dans leur vie d'adulte. Dans 10 ans, comme pour l'éducation nationale, quand le ministère de la santé fera le bilan de ces coûts, il déplorera la fermeture des MECS qui au bout du compte pesaient bien moins lourd dans le budget. N'oublions pas que les soins thermaux sont NATURELS au regard des traitements médicamenteux.
Posté par Cri du coeur le
Les gens avec des moyens financiers ne se mélangent pas avec les RMIstes. Voyez la clientèle bourboulienne, c'est pas brillant (un short en nylon et une casquette Yamaha !) pas un seul magasin de vêtements digne de ce nom (à part Evasif). Les pensions à des prix dérisoires dans les hôtels pas chers, les appartements pas chers, c'est à celui qui fera les prix les plus bas pour récupérer un peu de clients (souvent déçus en arrivant par les prestations fournies). Il faut bien payer ses taxes foncières et autres. Je ne parlerai pas des façades des immeubles. Continuez, vous êtes les champions pour les restos du coeur. Quant aux petits antillais qui viennent se faire soigner, leur mère est très contente de les accompagner et de repartir vite à Paris chez une parente travaillant aux PTT. Voyages gratuits (ça vaut le coup d'acheter un anorak) pour venir de leurs plages ensoleillées.
Posté par Villageois le
Vous avez oubliez tous les sdf inactifs que la mairie nourrit et loge... Bien sûr, ça part d'un bon sentiment mais cela amène de l'insécurité jusqu'à l'extrême. Vous voyez de qui je veux parler ? On vient de me parler de ce blog ou on pouvait s'exprimer, merci de publier mon opinion.
Posté par Xavier Fourot le
J'ai déjà entendu ce discours, "Cri du coeur". Et si vous êtes la personne à laquelle je pense ( Qui a quitté La ville de La Bourboule depuis quelques temps), vous savez ce que j'en pense. Je n'ai jamais compris pour quelle raison, certains Bourbouliens en voulaient autant aux maisons d'enfants. Les maisons d'enfants offrent des prestations à une clientèle qui ne pourrait pas venir à La Bourboule, faute de moyens financiers. Et ses même maisons d'enfants participent très largement à la vie écomomique de la ville.

Quant à votre regret vis à vis du type de clientèle de la ville, je ne le partage pas. L'image de La Bourboule dont vous révez, que vous dites avoir vécu, ou avoir entendu parler par vos parents n'a jamais réellement existé. Certes, il y avait des Rolls devant les Iles britanniques. Mais il y avait aussi une clientèle plus modeste.

Après guerre, l'ouverture des maisons d'enfants a très largement contibué a relancer l'activité thermale de notre station et a créé de nombreux emplois. Celle-ci était logique et souhaitable. La Bourboule pouvait alors difficilement relancer une activité thermale en se basant uniquement sur la clientèle que vous appelez de vos voeux. L'orientation pédiatrique de La Bourboule était déjà affirmée depuis très longtemps . C'est Louis Choussy qui l'a lancée..... Relayé ensuite par des initiatives comme celle entre autre de la compagnie des eaux et du docteur Diffre.

A la fin de la guerre, les premières "maisons d'enfants" ( Trois) ont été créées par des Bourbouliens......Ensuite, d'autres, nombreuses se sont installé&es dans des villas et bâtiments qui ne pouvaient plus recevoir la fameuse clientèle . Et tant mieux !!!!!

Tant mieux, si le thermalisme qui est une médeçine qui marche, a pu aider de nombreux enfants affaiblis par des années de privation à retrouver la santé ! Tant mieux, si le thermalisme "social" s'est développé. Ce thermalisme a aussi très largement contribué à faire vivre les Bourbouliens pendant près de 50 ans !

L'offre des maisons d'enfants est une offre qui vient compléter l'offre des hôtels et des meublés et qui ne vient pas en concurrence avec elle. Et si "Les hordes d'enfants sur les trottoirs" vous gênaient, elles ne vous gêneront plus beaucoup, puisque vous avez, je crois, quitté la ville, et que les maisons ferment les unes après les autres.

Quant à la clientèle antillaise, heureusement que nous l'avons !!!!!

Si elle n'existait pas, les thermes seraient dans une drôle de situation !!! Les commerçants , et la ville en général aussi !!!

Cordialement, Xavier Fourot.
Posté par Marc le
Vous avez trop tiré sur la ficelle à un certain moment, vous en payez les pots cassés maintenant.
Posté par Xavier Fourot le
Cela veut dire quoi, "tirer sur la ficelle"? Vous pourriez préciser votre pensée? Qu'il y ait un vrai débat, s'il faut qu'il y en ait un?

Qui paye les pots cassés, aujourd'hui? Mon avis c'est que c'est toute La Bourboule qui paye la situation actuelle pour les maisons d'enfants, les commerces, les hôtels, les meublés, les artisans, le thermalisme et le tourisme en général.

A la polémique, je préfère les débats constructifs. Maintenant, nous faisons quoi? Nous, les Bourbouliens? Pour notre avenir commun. Car s'il y a galère, nous sommes tous dedans !

Vous avez une idée pour sortir de la tempête? Je suis preneur.

Cordialement, Xavier Fourot.
Posté par Durdur le
Pour s'en sortir dans une tempête, et surtout quand le bâteau coule, il faut écoper tous ensemble dans le même sens. Il y a ceux qui écopent du bâteau vers la mer et ceux qui écopent de la mer vers le bâteau. Bien sûr, ces derniers se mettent du côté du plus fort... mais la mer est toujours plus forte.
Posté par Cristobal le
Il faudrait aller faire un petit voyage au Canada pour voir comment ça marche la bas. Vous en tireriez des enseignements pour votre station. (lol)
Posté par Cri du coeur le
Nettoyer...balayer devant sa porte, je parle de toutes les corporations bourbouliennes, accepter les critiques et les bilans défavorables sans polémique aucune, reconnaître ses erreurs, au moins intimement le soir au fond de son lit. Ensuite, faire le ménage chez tous ceux qui nous gouvernent et qui sont incompétents : à la mairie d'abord. Il n'est pas possible que les élus qui sont chargés des travaux aient pu gérer la piscine de la sorte, un privé n'aurait jamais agi ainsi car c'est avec son argent, eux c'est avec le nôtre. Pour certains, peu importe qu'il y ait du monde à La Bourboule, leur salaire tombe quand même ! Le bail avec les Grands Thermes ? Dans quelles conditions ? Il paraît que nous leur avons payé leursssss lave-linge ? Tout le monde parle de ça mais pourtant ne connaît pas le coût exact. Dans l'ancien bail, les bourbouliens avaient droit à la cure gratuite hors saison, les anciens ont l'air de dire que c'est un détail important pour eux car ils se sentaient un peu chez eux aux Grands Thermes. Un cri du coeur monte également en ce moment au sujet du syndicat d'initiative, surtout en ces temps de pénurie de clientèle, toutes les vieilles querelles remontent en ces temps électoraux, ils reparlent des "dysfonctionnements" avec les meublés et les hôtels. Ils nous ressortent l'exemple de la demande arrivée au SI poue une cure au mois de mai, avec une réponse "un seul meublé de libre à Latour d'Auvergne". Ce curiste s'était bien aperçu que c'était faux et comme il y avait eu de la neige cette année là et qu'il avait des difficultés pour rouler, il l'avait crié partout. Les exemples pour les hôtels sont si nombreux que je ne m'étendrai pas. D'autres s'en chargent paraît-il ! Malheureusement, les personnes incriminées sont toujours en bonne place. Le SI associatif avait l'avantage de réunir tout le monde à une assemblée générale et ce qui permettait à tous de s'exprimer librement. Et puis, les Gouverneurs de l'époque ont décidé qu'il y aurait un EPIC... On connaît la suite...Bon on va pas passer notre temps à se remémorer les mauvaises choses, mais il faut en tenir compte afin d'avancer. Les forces vives se sont démoralisées ou bien sont parties sous des cieux plus propices et plus prospères. Je crois qu'il faut remotiver les foules et trouver des têtes d'affiches (ou des têtes de listes). Et je parlerai enfin de la PROMOTION de la station. Un professionnel d'envergure est indispensable. Pas de soucis il paraît que nous avons un DRH au top à la mairie pour nous trouver la perle rare.
Posté par jeunette le
Vous osez le dire, tant mieux, moi je ne peux pas, je suis dans une activité a risques. (j'ai besoin de travailler pour payer mes crédits) Si l'on m'avait parlé du fonctionnement de La Bourboule avant l'achat, j'aurais choisi une autre région.
Posté par Moustachu le
Il est vrai que c'est difficile à vivre au quotidien. Gardez l'espoir, les jeunes vont changer tout cela. MEC moustachu
Posté par fred le
La source qui s'écoule du stade de la Bourboule serait la source des Pigeons (tarie lors du fonçage de la source Clémence)
Posté par Durdur le
Merci Fred pour l'info. Plus beaucoup de pigeons à plumer. Les vautours planent dans le ciel de La Bourboule.
Posté par enfin le
Voila qui est dit. Maintenant, reprenons nous les bourbouliens. Pour s'en sortir, il va falloir s'y mettre tous sinon, pas d'espoir.
Posté par du taf le
J'aime bien les réactions de certains, c'est dit pourtant sans méchanceté et avec réalisme. c'est la démocratie que de pouvoir s'exprimer.
Posté par Haineux le
Laisse faire, ils s'en foutent à la mairie quand ils y sont.
Posté par Expatrié le
Comment faire confiance à des gens qui s'emparent du terain publique quand ils ont ete elus. C'est pas fort pour des gens de gauche soit disants.
Posté par Pantomine le
De gauche ou de droite c'est pas le problème. La "nétiquette" est pas respectée
Posté par Castor le
Les réunions publiques servent à poser ce genre de question aux interréssés. (pour voir leur tête) !
Posté par Expatrié le
tu feras comme moi tu reviendras, il ya l'autoroute maintenant.
Posté par trompette le
La vieille bourboulienne ,que je suis, lit les mêmes discours ou les écoutaient depuis des lustres. Bien sûr, La Bourboule s'est cassée la gueule depuis les années 70/75, elle ne suis que le mouvement national. J'ai été très surprise, ce samedi 16/02/2008 autour de 16/17heures, de voir un tel afflux de touristes qui vidaient leurs voitures pour hôtels ou meublés, incroyable, du monde, vraiment du monde, notre pays plait! Donc, je pense qu'il vaudrait mieux se battre pour des vacances plus longues, par exemple. La "semaine de 4 jours " empèche tous les gens "parents" de venir la dernière semaine d'aout; et début juillet, avant le 10/07/2008, résultats, inscriptions aux écoles, etc... Donc, il faudrait une clientèle plus étalée, et adaptée au calendrier de l'éducation national. Qui peut réunir des forces suffisantes pour se faire entendre à un niveau national? Je ne vous citerais pas le pourcentage de touristes annuel de la France (je n'ai aucune mémoire des chiffres), mais si les francais ne viennent que du10-12 voire du15/07 au 23/08, il faut attraper une clientèle étrangère. Mais lequel d'entre vous est bien malin?
Posté par lecolonel le
Bonjour à tous,
j'ai déjà écrit sur ce site il y a plusieurs mois, un "coup de sang" qui m'a prit suite à lecture d'un commentaire sur la ville justement, émanant en fait d'un certain professionnel de l'immobiler, plein d'ambition, semble-t-il.
Je n'ai toujours pas changé d'idée: un achat immobilier dans cette commune, pour mes temps libres; cette vallée comble mes souvenirs d'enfant, et j'y suis très attaché; mais tous les commentaires que je viens de lire ci-dessus m'inquiètent un peu. Certes, j'ai vu moi aussi un "changement" s'opérer dans la commune, par rapport à ce que j'ai connu dans les années 60. Et ça m'attriste. Qui souhaiterait voir un achat "de coeur" s'entacher par des taxes s'affolant chaque année un peu plus ?(pour ne parler que de celles-ci) dois-je persévérer dans ma recherche ? des souvenirs, j'en ai ailleurs, dans d'autres régions; mais c'est cette vallée et ses deux villes (qui sont pour moi indissociables, ne vous en déplaise) qui est la gardienne de mes souvenirs les plus forts: ceux des bonheurs de l'enfance. Mais j'ai l'espoir tenace et je suis patient.
Depuis mon train, métro, bus et diverses autres joyeusetés quotidiennes, le Francilien que je suis pense tous les jours à cette vallée, ses bois, ses batiments d'un autres siècle, ses sentiers, sa banne son capucin et son puy, son parc fenestre, son charlanne (d'alors!), ses boutiques de jouets, sa marquise de sévigné et ses chocolats que je ne dévorais que des yeux, tant et tant de choses encore; alors bonne chance à tous ceux qui aiment cette vallée, ses villes et ses habitants. Je m'aperçois maintenant que je suis loin du sujet de départ, la source Clémence ! on m'en voudra pas, j'espère..
Posté par Nouvelle donne le
J'ai assisté aux 2 reunions avec un esprit objectif. Et bien je suis surprise de la reaction de la personne de l'opposition qui s'occupait du thermalisme. Pas brillant de s'enerver de la sorte quand l'evidence est devant vos yeux.
Posté par Enfin le
Toujours les maisons d'enfants qui prechent pour leur paroisse. Dommage pour eux mais c'est fini.
Posté par Anne (de bretagne) le
TOUJOURS LE MEME DISCOURS LE THERMAISLME J'AI BIEN AIME QUAND L OPPOSITION A PARLE DE SES VOYAGES AUX THERMAIES ET DANS LES SALONS ! POURQUOI FAIRE A PART POUR SA POMME
Posté par Un de plus le
"Ya que moi qui est la competence pour le thermalisme. " Compétence pour quoi faire ? y a de quoi rire
Posté par Moi aussi le
Manque d'élégance de vouloir monopoliser le micro pour défendre que leurs intérets. Mais l'intervenant du thermalisme lui me semble plus actuel que cette personne qui a certainement des qualités mais est dépassée par l'évolution du thermalisme actuel. Je pense franchement que le thermalisme médical a du plomb dans l'aile et qu'il faut évoluer. La courbe présentés hier soir parle d'elle même. La sécu en veut plus, nous non plus. Plus de maisons d'enfants à outrance quand les autres crèvent.
Posté par M. V le
Je comprends l'aigreur de certains d'entre vous mais La Bourboule se meurt dans tous les domaines et même les M E avec, car il leur faut faire face a des tracasseries administratives énormes et très chères. Plusieurs ont déjà jeté l'éponge. Comme l'ont fait les hôtels, les résidences meublées, les commerces à leur tour. Doit-on s'en réjouir ? Evidemment non car lorsque c'est une partie de La Bourboule qui s'éteint. Mais une petite flamme tremblotante persiste qui ne demande qu'à être ravivée, c'est le coeur de La Bourboule.
Posté par GROGNARD le
c'est bien beau de critiquer la personne qui parle de thermalisme, le thermalisme médical existe toujours et elle est consciente qu'il faut le péreniser mais elle sait parler d'autres formes de séjours pour attirer une autre clientèle, arrétez de critiquer les maisons d'enfants , elles sont une source d'emploi, de possibilité de faire travailler le secteur économique ,touristique par la location des skis, raquettes ...., l'animation , le cinéma , les commerces alimentaires et les magasins de souvenirs et bien entendu les thermes. arrétez de les voir comme des ennemis, et n'oubliez pas que l'hiver et le printemps , les classes de découverte génèrent de l'emploi au sein même de ces maisons.Oeuvrez pour être plus tolérent et votez la liste entière de serge Teillot pour connaître un changement et sauvez la Bourboule du marasme dans lequel jean Falgoux et son équipe nous ont mis
Posté par Nini le
Effectivement j'ai posé la question à MF et elle est bien consciente et d'accord pour la diversification du thermalisme avec, entre autres, des séjours plus courts. Peut-être devrait elle communiquer plus précisément dans ce sens ? Faisons lui confiance et aidons La Bourboule à se relever.
Posté par Administrateur le
Grognard ne mettez pas de noms SVP
Posté par Pas content le
Vous voyez ou ça mène de vouloir trop en faire du social ? J'ai bien peur que ça coûte la place de maire à J. d'autant plus que la casserole que ce traine le gars du pregnoux va pas arranger les choses. Les papiers qui circulent sur ça font du mal à toute l'equipe.
Posté par Cristo le
Pas de jaloux, les adversaires ont leur papier aussi. Mais le maire sortant porte plainte pour diffamation soit disant ! (pour sur endettement faux) J'espère que les chiffres du jeune comptable sont bons. Mais quand on saura la vérité, le problème c'est que les élections seront faites...
Posté par Bill le
Quelqu'un sait les nouveaux adjoints ? merci
Posté par Momo le
J'ai cru comprendre : Lambert Juillard Constantin Brut Guichard
Posté par Cricri le
C'est pas vrai qu'ils ont mis le pregn, il a le bras long je pense pour le mettre.
Posté par jean til le
C'est la seule fausse note de ce nouveau conseil, enfin j'espère que Le Maire va intervenir à ce sujet pour la bonne entente de tous et la progression de notre ville.
Posté par Momo le
J'ai vu un des conseillers d'un village et il le sait. Va-t-il faire quelquechose car comme vous le dites plus haut, il y a des passes-droit même à la bourboule. Confiance ?
Posté par Cristo le
A la Bourboule des passe droits ? Non vous rigolez.
Posté par Mimi le
Savez-vous pourquoi le forum de la bourboule ne fonctionne plus ? Merci pour ceux qui sont loin.
Posté par Miryam le
Alors on fait plus rien dans la bourboule ? Et cette piscine elle va sortir de terre ? Donnez nous des nouvelles merci. Une expatriée
Posté par Mimi le
Savez-vous pourquoi le forum de la bourboule ne fonctionne plus ? Merci pour ceux qui sont loin.
Posté par Cristobal le
Un nouveau site qui n'y va pas par 4 chemins vient de voir le jour. Nous dira-t-il la vérité enfin ! http://mabourboule.com




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